photo of yellow and blue macaw with one wing open perched on a wooden stick
Prendre soin de soi

Et toi ? Quel est le truc le plus fou que tu aies fait dans ta vie?

Hello toi !

Me revoilà avec l’envie de te partager cette anecdote matinale ! Bon ok nous sommes en début d’après-midi quand je commence la rédaction de cet article, mais c’est tout frais, c’était ce matin !

Au gré d’un site de rencontres, c’est exactement cette question qui m’a été posée : “Bon j’aime bien poser cette question. Savoir la chose la plus folle que t’aies faite?”

Et là dans ma tête, me vient oula mais j’ai jamais sauté en parachute ou fais un truc sensationnel moi ! Avant qu’une petite lumière s’allume…

Elle était là… Cette chose que j’ai faite où j’ai clairement eu la sensation de sauter… sans parachute qui plus est ! Et c’est ce dont j’allais prendre conscience !

Un profond sentiment de fierté

blue sky
Photo by Pixabay on Pexels.com

J’ai été chercher la réponse à cette question à l’intérieur de moi : qu’est-ce que j’ai fais de plus fou, au juste, dans ma vie? Et c’est là que cette étincelle s’est allumée, cette fierté à l’intérieur de moi que je suis en mesure de voir aujourd’hui, qui restait jusque là comme non matérialisée par mon conscient…

Ce jour où je me suis enfin vue

crop unrecognizable black man wearing lgbt ribbon on arm
Photo by Anete Lusina on Pexels.com

Il y a bientôt 2 ans maintenant que j’ai ouvert les yeux, que je me suis vue, que j’ai cessé de porter des œillères et que j’ai pris cette décision qui me donne la sensation d’avoir fait la plus grosse chute libre de ma vie, un saut dans le vide comme je n’en avais jamais fait de ma vie ! Et je comprends d’autant plus tous ces vertiges de dingue par lesquels je suis passée maintenant que j’en prends conscience !

Prendre la meilleure décision pour soi

broken heart cardboard on brown wooden table top
Photo by RDNE Stock project on Pexels.com

J’aidonc pris la meilleure décision qu’il soit, pour moi… Ca parait très simple dit comme cela, et pourtant quel ascenseur émotionnel !

J’ai mis plusieurs mois a comprendre que quelque chose dans ma vie n’était pas aligné. Plusieurs mois avant de saisir que depuis des années, quelque chose n’était pas juste pour moi. Et de synchronicités en synchronicités, d’exploration en exploration, de questionnements poussés encore un peu plus loin chaque fois, j’ai fini par mettre le doigt sur ce qui allait devenir une évidence…

Je suis lesbienne, et bon sang que cela a été difficile pour moi de parvenir à dire ce simple mot, sans avoir une petite voix au fond de moi qui, comme bien des gens peuvent encore le dire, me demandait si j’étais vraiment sûre.

Alors non, je n’avais aucune certitude à ce moment là, si ce n’est que j’avais explorer les relations au féminin à plusieurs reprises, à différents âges. Ce fut même une option prise en parallèle de ma vie de couple normée, avec l’accord de monsieur, que de pouvoir explorer cette part de moi.

Je l’avais prévenu, lui indiquant que ce n’était pas de simples plans culs, mais bien de vraies relations qui se créaient. Je pense aujourd’hui l’avoir prévenu plus pour moi que pour lui. Et il a accepté tout cela. Et quelle jolie preuve de respect et d’amour ! Je lui suis reconnaissante d’avoir su me laisser m’explorer malgré ce que cela pouvait créer en lui.

Se libérer, non sans flipper…

photo of yellow and blue macaw with one wing open perched on a wooden stick
Photo by Ilo Frey on Pexels.com

Et puis il y a eu cette rencontre. Celle qui m’a amené à me questionner plus loin que je ne l’avais fait moi même. Ces questions, son envie de comprendre quel “genre” de couple nous étions pour que j’ai la possibilité de me lier à elle sans obstacle.

Ces questions qui m’ont moi même amener à réunir petit à petit ce puzzle, jusqu’à poser la pièce décisive qui fait qu’enfin, l’image complète apparait.

Je m’étai moi même berné, pensant que cela n’avait été qu’une passade, et que, ne voyant pas de préférence claire à l’époque entre un homme et une femme, pensant que la sexualité normalisée me manquerait et ayant le souhait de porter la vie, je m’étais alors dit que mon choix s’orienterait vers l’hétéro-normalité. Ce n’était pas mon combat. Je m’entends encore aujourd’hui formuler ces mots.

Sauf que, 20 ans après, ayant des enfant, ne souhaitant plus de sexualité au masculin, faute de quoi mon corps s’empressait de me faire savoir de bien des manières que quelque chose clochait, mes excuses de jeunesse ne tenaient plus.

Et la où je pensais avoir choisi, j’en oubliais l’essentiel : nos attirances et notre orientation amoureuse ou autre ne sont pas des choix. Tout comme si nous sommes blanc et blond, métisse et brun , orange et jaune, nous ne choississons pas nos couleurs.

Et bien là, il en était de même. ALors est venu le moment d’en parler au principal concerné. Je pensais me laisser quelques semaines pour être “sûre” de moi, sauf que la discussion a eu lieu le soir même, quelques heures après que j’ai compris.

Et si ma tête vibrait des doute, le sentiment que j’ai ressenti dans mes tripes à ce moment là, cette sensation de déposer les armes, de tomber l’armure qui me pesait depuis tant d’années, et ce soulagement profond intérieur ne pouvait que me conforter dans le fait que j’étais bel et bien au bon endroit.

La paix intérieure était à. Une sérénité difficile à décrire. Et si ma tête avait elle des doutes, mon corps lui n’en exprimait aucun.

Je venais de sauter dans le vide, et je n’étais sereine. C’est exactement à cette sensation que je me suis raccrochée pour tout ce qui m’attendais, que ce soit l’annonce de la séparation auprès de mes enfants, tout ce que cela engendrait, la vente de la maison, les déménagements, les incertitudes, les peurs des uns et des autres.

Ce qui m’a permis de ne pas avoir de doute, c’est ce sentiment ressenti au moment où j’ai prononcé à voix haute que la suite de ma vie serait au féminin.

Et aujourd’hui, en prenant conscience de tout cela, je comprends d’autant plus toutes les phases par lesquelles je passe depuis, ça n’a pas été facile, pas sans y laisser des plumes non plus. Ni plus ni moins que celles qui devaient tomber.

Alors si toi aussi tu devais me partager ce que tu as fait de plus fou dans ta vie, ou ce que tu t’apprêtes à faire de fou, ce serait quoi?

Laisse un commentaire si tu as envie de partager, un mail privé si tu le préfères.

Et si tu as du mal à garder ton cap dans ta chute libre, que tu as peur de te cracher ou que tu ne sais plus vraiment ou tu en es, tu peux prendre rdv pour être accompagnée.

Ensemble, nous pouvons aller chercher les réponses en toi, dans ton coeur, celles qui te guident dans la bonne direction qu’est la tienne.

En présence, au travers d’une bulle de douceur, à distance, au travers d’un accompagnement Metamorph’ose, d’un appel, d’une visio si tu souhaites prendre ma main et éclaircir ta situation, je t’accompagne vers ce retour à toi, alignée à ton âme.

Tu as envi de faire bouger ta vie, que ce que je te propose vibre en toi ? Je t’invite à me contacter ici.

Tu as envie de partager ton expérience à toi ?

Laisse un commentaire, partage ce qui te fais du bien toi, tes découvertes au travers de cet article, si mon partage t’as fait du bien, si tu en veux d’autres comme celui-ci, où si tu veux simplement faire coucou peu importe ! Tu peux t’exprimer en commentaire, à toi de jouer !

Je te dis à très vite pour un nouvel article !

Et si tu ne me connais pas encore et que tu tombes sur mon article par hasard (bien qu’il n’y en ait jamais pour moi), découvre moi ici ou via mes réseaux sociaux


Read More
woman wearing white halter strap top
Prendre soin de soi

Comment ma vie perso impacte ma vie pro, et vice versa ?

Coucou !

Nous sommes lundi, il est 23h, je suis de retour chez moi, et j’ai envi de parler à cœur ouvert. Le retour après ce week-end d’évasion totale laisse déjà place au retour à la réalité. Alors je réfléchis à la manière dont je pourrais chasser mes peurs et extérioriser mes ressentiments.

Je pense à cette envie de podcast que j’ai dans un coin de ma tête, mais ça m demande déjà une logistique et une organisation qui me donne trop à cogiter. Pas assez instantané pour moi, le flow de ce qui m traverse là maintenant sera déjà passé quand tout sera aligné pour que je fasse mon enregistrement.

Alors je reviens à ce que j’ai toujours apprécié, ce qui m’est facile. L’écriture. Oui j’étais une férue de journaux intimes adolescente, j’ai coucher mes mots sur le papier.

Aujourd’hui, ici, je vais partager comme j’aurai rêver le faire à cette époque. Ouvrir mon cœur et que cela ne se limite pas à un journal qui reste de moi à moi même, j’ouvre mon cœur ici, et je verrai bien ce qui en ressort. Peut-être que cela te parlera, et que tu te retrouveras dans ce que j’écris. Peut-être que tu traverses aussi quelque chose de similaire et que l’on pourra discuter de tout ce que l’on vit ensemble. Je n’ai plus envie de garder tout cela pour moi seule. Et pas envie d’attendre davantage de trouver la bonne communauté (case) où je me sentirai comprise. Parce qu’il m’arrive d’oublier que c’est chaque fois une désillusion, que l’on n’est pas simplement un titre ou une désignation, mais un tout.

C’est pour cela que j’ai choisi ce titre, et que j’ai déjà envie de répondre à la question qu’il soulève. Pourquoi ma vie perso impacte ma vie pro et vice versa? Parce que je ne suis qu’une, et que tout ce que je vis, quel que soit le domaine touché, se passe dans ma tête, mon cœur, mon corps. Et ce qui est sûr, c’est que cela ne constitue qu’une seule et même personne : moi.

Alors voila, je te préviens, et ce sera la seule fois que je le ferai, parce que je suis comme ça. J’écris comme je parle, c’est à dire, beaucoup, et dans le détail parfois. D’autres fois plus en surface, selon comment je suis prête dans l’instant à creuser ou non le sujet, et quand je dis prête, je veux dire prête émotionnellement.

Donc c’est possible que ce soit long, que ça ne réponde pas aux critères attendus dans un blog normé par la course aux j’aime, aux attentes de l’algorithme, et tout le blabla de la communication idéale pour faire ce qu’il faut comme il faut etc. Et je m’en fous. Le plus important pour moi, c’est cet espace que je crée dès maintenant, dans lequel je m’autorise encore davantage à être pleinement moi, peu importe l’extérieur.

Donc je le dis une seule fois aussi, et le tri de toute façon se fera de lui même, si c’est trop long, pas comme tu voudrais, que ça te barbe ou que si ou que là, bah tant pis, trace ta route, c’est peut-être même déjà fait.

Une chose est sûre, c’est qu’en m’acceptant pleinement comme je suis, je ne me changerai pas pour être moins ceci ou plus cela, j’ouvre en grand cette porte de je suis comme je suis, et c’est à prendre ou à laisser, pas de modelage sur mesure.

Ah et dernier truc, il est possible qu’il y ait des fautes ou des erreurs dans mes tournures de phrases, répétitions ou autre, parce que je ne vais pas me relire. Je lâche tout ceci de manière spontanée, dans l’ici et maintenant. Donc ce qui est souligné en rouge, je clique pour le modifier, ce qui ne l’est pas restera comme tel.

Me relire, c’est prendre le risque de vouloir arranger les choses, et perdre le sens de ce que je voulais initialement dire. Alors, je me fais confiance, je sais que ce que je partage sera majoritairement compréhensible, que quoi qu’il arrive, quand on lit quelque chose, ce qui nous percute le plus est ce qui résonne en plus en nous, donc si tu ne comprends pas quelque chose, ou que cela nécessite d’être creuser, je compte sur toi pour te manifester et m’en faire part, je tâcherai d’amener la réponse approprié si j’en ai une, et qu’elle ne me fais pas rentrer dans de la justification.

Sur ce, bonne lecture !

Où j’en suis?

girl showing bright brainteaser in hands
Photo by Monstera Production on Pexels.com

En rentrant ce soir, je me rends compte que je suis à nouveau face à moi-même.

Depuis que mon ex-compagne m’a quittée, je découvre ma liberté. Liberté qui peut aussi parfois être appelée solitude, j’ai fais un article sur ce point que je t’invite à aller lire ici si tu le souhaites.

Je sors de 21 ans de vie de couples consécutives, bientôt 11 ans que je suis devenue maman, et avant cela, l’internat et la vie chez mes parents.

Toute une vie passée à cohabiter avec d’autres êtres humains. A partager leurs énergies et les miennes, et en bonne hypersensible que je suis, autant dire que j’ai aussi bien ressenti fort mes propres états d’êtres que ceux des êtres qui m’entouraient.

Constamment, ou que je sois, je ne connaissais pas la solitude. Je ne connaissais pas cette liberté, celle de pouvoir être seule avec soi-même, seule face à moi-même.

Deuxième d’une fratrie de 4 enfants, dont un est le joli fruit d’une autre union après la séparation de mes parents, j’ai eu une vie plutôt bien remplie.

J’ai accumulé aussi beaucoup de moments que certains appelleraient difficiles. J’en prends conscience aujourd’hui, et en même temps j’ai du mal à m’approprier ces mots parce qu’ils ne reflètent pas totalement la façon dont j’ai vécu tout cela de l’intérieur.

En créant Meltiss’, l’une des questions que j’ai été amenée à me poser a été : quel est mon grand rêve? Qu’est ce que je voudrai voir se construire dans le monde si je pouvais le façonner selon moi?

Si je devais décrire ce monde, j’aimerai que chacun.e de nous s’autorise à être pleinement qui il/elle est à l’intérieur. Et en premier lieu nous, f’âmes. S’autoriser à montrer, à être pleinement nous-même, quelle que soit notre diversité intérieure.

Ok, c’est beau dit comme ça, mais concrètement, ça veut dire quoi pour moi?

F’âme entrepreneuse : définition

young annoyed female freelancer using laptop at home
Photo by Andrea Piacquadio on Pexels.com

J’ai créé le terme de f’âme entrepreneuse pour désigner les âmes que j’aime accompagner. Je ne connais pas de terme qui me caractérise précisément, alors je fais ce que je fais depuis longtemps pour ne pas dire depuis toujours dans ces cas là : j’invente mes propres appellations, comme je l’ai fait avec la couture énergétique.

Une f’âme entrepreneuse pour moi, est un être vivant, peu importe son genre, avec qui l’âme que je suis va rentrer dans une danse, comme devant un miroir. Une âme qui se reconnait en moi, partiellement, totalement peu importe. Nos vibrations vont comme faire écho.

Il y a comme une reconnaissance d’âme en fait, et par âme j’entends ce qui n’est pas forcément visible, palpable.

Ce truc qui fait que tu ne sais pas complètement dire avec des mots pourquoi je suis celle qui t’appelle pour faire un bout de chemin avec toi, mais que tu sens à l’intérieur de toi que cette résonnance est là.

Pourquoi entrepreneuse?

Parce que la transmutation ne t’effraye pas. Tu es prête, toi, âme, à évoluer. Pas à faire semblant de vivre une vie qui te convient non, plutôt à ce que ta vie ait un vrai sens pour toi. Tu ne te contentes pas de suivre le troupeau, tu fais un pas de côté pour suivre ta propre direction, même si ce n’est pas celle de la majorité. Et quand bien même l’envie de reprend par moment d’essayer de te mêler au troupeau, tu prends vite conscience que tu ne t’y sens pas à ta place, que tu es comme incomprise, incomplète, que tu ne te retrouves pas dans les schémas qui t’entourent.

Alors oui, nous sommes toutes et tous uniques. Personne ne se retrouve pleinement, à 100% en une autre personne. Nous ne sommes pas des copier-coller.

Mais ta particularité à toi, c’est que tu sens que non seulement tu sors du troupeau, mais ce n’est pas pour prendre un chemin déjà tracé par une autre âme. Tu vas créer ton propre chemin, là, au milieu des herbes hautes, de la végétations plus ou moins denses que tu vas découvrir pas après pas. Avec des zones plus dégagées que d’autres, et des zones où tu auras l’impression qu’il ne sera pas possible de passer. Avec parfois, de petites marches arrières à faire, pas pour revenir à ton point de départ ou faire demi-tour, non, pour réajuster ton orientation et trouver un endroit plus propice pour passer avec moins de difficultés.

Tu sais déplacer des montagnes quand il s’agit de prendre soin de quelqu’un qui t’es cher, de défendre une cause qui te semble juste. Sans pleinement t’autoriser à voir tes capacités telles qu’elles sont. Tu restes plutôt modeste, c’est juste “normal” pour toi. Et quand il s’agit de toi, tu es pleine d’ambivalence et de paradoxes. De doutes parfois aussi.

Que tu sois entrepreneuse ou non sur le papier, c’est à cela que correspond la f’âme entrepreneuse que je suis à même d’accompagner. Parce que c’est celle que j’ai été, et que je suis encore, avec des évolutions et des mises à jour permanentes.

Raison pour laquelle cette description reste non ciblée, j’évolue constamment, toi aussi, et c’est ce qui résonne en nous.

Et cette description que j’ai faite de toi, c’est aussi la définition que j’ai faite de moi.

Être pleinement soi, ça veut dire quoi?

floral arrangement in an arc
Photo by Leeloo The First on Pexels.com

Être pleinement soi, pour moi, c’est s’autoriser à être la f’âme arc-en-ciel que l’on est à l’intérieur. Que ce soit pour ton identité de genre ou pas du tout, ton orientation sexuelle, religieuse ou autre, ou pas du tout, ta façon d’être au monde, ta perception intérieure, peu importe, c’est t’autoriser à être toutes les couleurs qui te composent !

Un arc-en-ciel à ton image, unique, comme l’être que tu es. On peut avoir des couleurs similaires dans nos arc-en-ciel, l’ordre des couleurs ne sera pas exactement le même, la forme de nos arc-en-ciel par strictement similaire, et tout cela fait celles que nous sommes.

Pour moi, c’est ça être pleinement soi. Assumer toutes nos couleurs, même si tu as du noir dans ton arc en ciel et que ça n’existe pas dans l’imaginaire collectif et l’image de l’arc-en-ciel tel que nous le voyons dans la vraie vie.

Parce qu’après tout, qui nous dit que nous voyons toutes les couleurs exactement de la même manière? N’y a t-il pas des différences? Comme cette histoire de robe de certaines personnes voit blanche et bleue alors que d’autres la voient noire et dorée? Il n’y pas une seule vérité, il y en a plusieurs, tout comme il y a plusieurs angles de vue et plusieurs façon de voir la vie.

Se libérer, oser briller, éblouir, s’apaiser, se reposer…

human eye
Photo by Lukáš Dlutko on Pexels.com

Alors oui, aujourd’hui, je suis fatiguée… Fatiguée de ces combats que je mène depuis des années, au travers des regards extérieurs, de ma quête de place, de sens, d’identité, de reconnaissance.

Ces combats qui m’ont amené là où j’en suis aujourd’hui, à cette fatigue profonde qui m’amène à lâcher encore davantage.

A ce dépouillement qui me laisse face à moi-même, réellement. Parce qu’en ayant enlevé chaque couche de la carapace que je me suis construite, je me suis aussi rapprochée de plus en plus de mes plus grandes peurs.

Et aujourd’hui, je me redécouvre totalement moi-même, dans mon propre regard.

Et là-dedans, j’ai encore eu envie de m’identifier à une communauté, des mots me définissants, pour trouver des âmes semblables à la mienne.

Mais dans tout cela, tout n’est pas à révolutionner. Ce que j’ai débroussaillé l’est déjà.

Même si je découvre d’autres pièces de mon puzzle intérieur, ce n’est pas une raison pour m’imaginer qu’être avec des pièces de mêmes formes me permettra de compléter mon puzzle totalement.

Même si aujourd’hui je suis consciente que j’aime les femmes, je ne vais pas trouver des clones de moi dans la communauté LGBT. Mes centres d’intérêts ou ma façon d’être n’ont pas à tourner uniquement autour de cette part de moi, même si elle me compose. Les personnes que j’apprécie et qui m’entourent ne vont pas changer du tout au tout, je trouverai toujours des personnes ayant une ou plusieurs couleurs similaires et des différentes également. Je ressens le besoin de rencontrer des âmes dans cette communauté, c’est ok, et malgré tout tout ne change pas pour autant.

Alors je n’ai pas besoin d’afficher en grand un arc-en-ciel uniforme, je peux afficher mes propres couleurs, telles que je le souhaite moi.

Et même si tout ce que je vis n’est pas confortable à l’instant t, ce n’est pas un état permanent, après la pluie, le beau temps finit toujours par revenir, même si à certains moments, c’est dur de le garder à l’esprit, et c’est ok aussi.

Et c’est pareil pour toi.

Alors si tu sens que la tempête est là, qu’elle se prépare même si les signaux sont encore subtils, ou qu’elle est passée mais que tu es encore ébranlée et que tu as besoin d’un phare ou d’une main tendue dans tout cela, rappelle-toi que tu n’es pas seule.

En laissant un commentaire si juste besoin de partager, ou en prenant rdv pour être accompagnée.

En présence, au travers d’une bulle de douceur, à distance, au travers d’un accompagnement Metamorph’ose, d’un appel, d’une visio si tu souhaites prendre ma main et avancer, je t’accompagne vers l’expansion de ton être, alignée à ton âme.

Tu as envi de faire bouger ta vie, que ce que je te propose vibre en toi ? Je t’invite à me contacter ici.

Tu as envie de partager ton expérience à toi ?

Laisse un commentaire, partage ce qui te fais du bien toi, tes découvertes au travers de cet article, si mon partage t’as fait du bien, si tu en veux d’autres comme celui-ci, où si tu veux simplement faire coucou peu importe ! Tu peux t’exprimer en commentaire, à toi de jouer !

Je te dis à très vite pour un nouvel article !

Et si tu ne me connais pas encore et que tu tombes sur mon article par hasard (bien qu’il n’y en ait jamais pour moi), découvre moi ici ou via mes réseaux sociaux


Read More
woman looking holding while holding head with left hand
Prendre soin de soi

Solitude et Liberté : et si c’était la même chose ?

Hey ! Voici une grande question qui me préoccupe cet après-midi !

Wow un bel aprem n’est-ce pas?

Eh bien oui ! L’occasion pour moi de faire le point, de moi à moi-même, avec l’envie de le partager ici mon regard sur la solitude versus la liberté.

D’ailleurs en faisant cela, je me reconnecte à l’écriture, que j’aime particulièrement depuis bien longtemps ! Sauf qu’écrire dans mon coin, ça ne m’emballe pas…

Alors voila comment cet article est né ! D’un questionnement personnel de l’instant, que j’ai à cœur de partager avec toi qui me lit ! Et qui sait, tu te reconnaitras peut-être, et que tu auras tes anecdotes ou astuces à toi à partager !

Alors j’y vais, avec pour point de départ, cette question :

Quelle est la frontière entre la solitude et la liberté ?

C’est parti !

gray and brown mountain
Photo by Pixabay on Pexels.com

La situation

Nous sommes vendredi, mes enfants sont déposés à l’école depuis ce matin, et je me retrouve seule chez moi.

Pas d’obligation professionnelles aujourd’hui, un peu d’administratif, de linge à plier, ok c’est fait… Et après?

Ma situation personnelle a bien évoluée depuis octobre 2022 : séparation du père de mes enfants, nouvelle chérie, nouvelle séparation fin 2023, encore fraîche, et me voilà ici aujourd’hui !

Un bon résumé bien abrégé ! (victoire personnelle ! Oui, pour celleux qui me connaissent bien, l’abrégé et moi, ça fait 15 ! )

OK ! Et cette question alors ??

Ben voilà, j’y viens ! Et j’y suis !

Où? A ce moment de ma vie que j’ai idéalisé longuement !

Ce jour où je serai enfin libre d’être juste moi, et de faire les choses selon mon propre rythme, il là, il est arrivé !

Oui !

Sauf que je ne m’attendais pas à ces questions récurrentes autour de moi :

“C’est pas trop dur la solitude ?”, “Tu n’es pas triste quand tes enfants ne sont plus avec toi?”

Et quelles viennent pointer quelque chose à l’intérieur… Mais quoi?

light fashion man people
Photo by Alehandro Cavalcante on Pexels.com

C’est une question de point de vue, non?!

Pour moi qui ait consacré une grande partie de ma vie à m’occuper des autres, de ma fratrie, de mes parents, de mes conjoint.e.s, de mes enfants, de mes collègues, de mes ami.e.s, ce moment tant attendu a comme un goût de liberté naissante !

Sauf que cette même liberté, dans la bouche d’autrui, s’appelle aussi solitude…

Pourtant, loin de moi l’idée que solitude et liberté puissent être la même chose !

Et cela vient soulever en moi tout un tas de questions !

Est-ce que je suis dans le dénie? On parle bien de la même chose? Il n’y a que moi qui ai ce besoin profond de me découvrir seule à seule ? (Non non je ne parle pas de sexualité, ça, c’est fait ^^ !)

Et puis, au final, ce temps libre j’en fais quoi? Comment je me réinvente ? Ou plutôt, comment je fais pour découvrir ce qui m’anime moi? Ce dont j’ai vraiment envie? Comment on s’y prend?

Eviter de se renfermer dans sa zone de confort

cozy living room with sofa and table
Photo by Max Rahubovskiy on Pexels.com

Le piège, c’est de refaire ce que l’on a l’habitude de faire.

Zoner sur son canap devant une émission par habitude tranquille avant le retour de tout le monde, scroller des heures sur les réseaux, jouer à un jeu sans grand intérêt… ; c’était mes occupations d’avant qui ne me faisaient pas vraiment waouh.

Et je ne prenais pas le temps de me lancer dans une recherche profonde mode : de quoi j’ai envie vraiment qui passe dans les 15 minutes que j’ai?

Je restais plutôt en mode “Fffff, quand est-ce que j’aurai du VRAI temps pour MOI??” emprunt d’une tonne de frustration accumulée !

Le train-train était bien huilé, tellement bien qu’aujourd’hui, il revient sans même que je ne m’en aperçoive, par “réflexe”.

Sauf qu’aujourd’hui, bien je l’ai ce temps.

Celui de me questionner et de revenir à ce que j’aime vraiment.

Alors ?? Comment on fait ???

Ben voyons, on revient à des choses simples ! Les basiques ! Quoi? Tu ne vois pas? C’est encore flou?

Bon ok je développe…

En regardant mon agenda, je vois bien que la programmation, c’est ok. Gérer les rdv pro, les rdv persos, les rdv des enfants, leur présence, tout ça, ça coule !

Sauf qu’il y a bien des moments qui ne sont pas programmés ! Comme cet après-midi par exemple, à la maison où j’ai pas envie de sortir parce que c’est déjà prévu demain… Que j’ai assez de temps et peu à la fois… Qu’est ce que je fais dans ces moments?

Eh bien tout ce que tu n’as jamais pris le temps de faire !

Pour moi, c’est par exemple :

Couture énergétique
Mon atelier de couture, le lieu où je me plais à créer de mes doigts

Rien d’extraordinaire vu comme ça n’est-ce pas? Ben ouais, c’est aussi simple que cela, tellement qu’au final, je n’en avais pas conscience avant…

Il a fallu que j’en arrive là, séparée, seule chez moi, pour avoir le temps d’enfin me poser cette question… Et finalement découvrir que ce que j’aime, ce sont des choses simples et hyper accessibles !

J’aurai pu tourner en rond et me lamenter sur ma solitude, déprimer, avoir peur de finir seule ou toute autre injonction prédictée… Sauf que perso, cette solitude est en fait ma liberté !

Mes moments solo où je recharge mes batteries en faisant de petites choses en apparence, qui m’apportent pourtant tellement à l’intérieur ! Et ça, c’est un secret que j’ai attendu des années avant de le découvrir !

Alors pour toi, c’est peut-être une découverte, ou juste un rappel de ce que tu sais déjà… Mais que c’est bon ! Parce qu’il est facile de ne pas le voir ou de l’oublier.

Et du coup, c’est quoi la frontière entre la solitude et la liberté ?

common kestrel in flight
Photo by Mahmoud Yahyaoui on Pexels.com

Et bien pour moi, il n’y en a pas… C’est celle que tu te créés tout simplement.

A toi de choisir comment tu occupes ton temps :

  • te sentir seule ou à te sentir libre ?
  • vouloir semer de nouvelles graines d’épanouissement dans ta vie ?
  • les entretenir pour les voir pousser, jusqu’à ce qu’elles deviennent des évidences pour toi?

Jusqu’à ce que tu ne sacrifies plus ces moments avec toi-même au détriment de ton entourage, de ta famille, de ton couple, ou de quiconque.

J’ai 35 ans et c’est ma découverte du jour, et c’est peut-être bateau pour certaines d’entre vous, mais pour moi, c’est tellement !

C’est d’une simplicité telle qu’il est très facile de l’oublier, de s’oublier…

Oui, ben comment on fait pour ne pas oublier?

Fais-toi une liste, ou un mood board si la créativité est ton truc !

pictures of brand strategy and design
Photo by Leeloo The First on Pexels.com

Comme un grand post it sur lequel tu indiques ou illustres toutes ces petites choses qui te font du bien ! Rassemble tout au même endroit, et mets le à un endroit judicieux pour toi !

Accroche le dans ton bureau, dans ta chambre, glisse le dans ton agenda, sers toi en comme un marque page, peu importe !

Du moment que tu peux le retrouver facilement dès que le besoin est là, et que tu peux te remémorer ce que tu peux faire, là maintenant, pour te sentir bien !

Jusqu’à ce que cela devienne un reflexe !

Voila ! Tu sais tout !!!

Tu as d’autres astuces ? Ou envie de partager ton expérience à toi ?

Laisse un commentaire, partage ce qui te fais du bien toi, tes découvertes au travers de cet article, si mon partage t’as fait du bien, si tu en veux d’autres comme celui-ci, où si tu veux simplement faire coucou peu importe ! Tu peux t’exprimer en commentaire, à toi de jouer !

Je te dis à très vite pour un nouvel article !

Et si tu ne me connais pas encore et que tu tombes sur mon article par hasard (bien qu’il n’y en ait jamais pour moi), découvre moi ici ou via mes réseaux sociaux


Read More